me saison, plus de 2 courses ont lieu. A partir de 2026, plusieurs changements s’opèrent, le paddock s’agrandit et accueille une nouvelle écurie américaine, Cadillac, la grille se composera donc de 22 pilotes.
Les réseaux sociaux, utilisés par les pilotes et écuries du paddock, sont devenus un moyen essentiel pour toucher un large public, notamment les spectateurs plus jeunes, et ainsi moderniser la Formule 1 tout en assurant sa pérennité auprès des générations futures. Les écuries et pilotes postent du contenu suivant l’actualité des courses et du championnat tout au long de l’année. Ces derniers adoptent parfois des styles varié
A sa création en 1950, un championnat de Formule 1 compte seulement 7 courses au calendrier, toutes se déroulant en Europe. Aujourd’hui, ce nombre semble minime comparé aux 24 Grands Prix de 2025, répartis dans 21 pays différents, une distribution géographique qui illustre bien la portée mondiale du sport. De 1950 à aujourd’hui, le nombre de courses par saison n’a cessé d’augmenter, un grand prix s’étale désormais sur un week-end, du vendredi au dimanche. En plus des 24 courses, la discipline introduit depuis 2021, les courses Sprint. Ces 6 Sprint sont des courses plus courtes comprenant moins de tours et une qualification moins longue. Mais ils proposent toujours plus de divertissement et augmen
A sa création en 1950, un championnat de Formule 1 compte seulement 7 courses au calendrier, toutes se déroulant en Europe. Aujourd’hui, ce nombre semble minime comparé aux 24 Grands Prix de 2025, répartis dans 21 pays différents, une distribution géographique qui illustre bien la portée mondiale du sport. De 1950 à aujourd’hui, le nombre de courses par saison n’a cessé d’augmenter, un grand prix s’étale désormais sur un week-end, du vendredi au dimanche. En plus des 24 courses, la discipline introduit depuis 2021, les courses Sprint. Ces 6 Sprint sont des courses plus courtes comprenant moins de tours et une qualification moins longue. Mais ils proposent toujours plus de divertissement et augmentent donc le nombre de téléspectateurs. La formule 1 réunit en moyenne plus d’1
A sa création en 1950, un championnat de Formule 1 compte seulement 7 courses au calendrier, toutes se déroulant en Europe. Aujourd’hui, ce nombre semble minime comparé aux 24 Grands Prix de 2025, répartis dans 21 pays différents, une distribution géographique qui illustre bien la portée mondiale du sport. De 1950 à aujourd’hui, le nombre de courses par saison n’a cessé d’augmenter, un grand prix s’étale désormais sur un week-end, du vendredi au dimanche. En plus des 24 courses, la discipline introduit depuis 2021, les courses Sprint. Ces 6 Sprint sont des courses plus courtes comprenant moins de tours et une qualification moins longue. Mais ils proposent toujours plus de divertissement et augmentent donc le nombre de téléspectateurs. La formule 1 réunit en moyenne plus d’1 million de téléspectateurs sur la chaîne française Canal+. La chaîne anglaise Sky a réalisé une audience record de 1 545 000 téléspectateurs en moyenne lors du dernier grand prix en Hongrie, le chiffre le plus élevé de la saiso
A sa création en 1950, un championnat de Formule 1 compte seulement 7 courses au calendrier, toutes se déroulant en Europe. Aujourd’hui, ce nombre semble minime comparé aux 24 Grands Prix de 2025, répartis dans 21 pays différents, une distribution géographique qui illustre bien la portée mondiale du sport. De 1950 à aujourd’hui, le nombre de courses par saison n’a cessé d’augmenter, un grand prix s’étale désormais sur un week-end, du vendredi au dimanche. En plus des 24 courses, la discipline introduit depuis 2021, les courses Sprint. Ces 6 Sprint sont des courses plus courtes comprenant moins de tours et une qualification moins longue. Mais ils proposent toujours plus de divertissement et augmentent donc le nombre de téléspectateurs. La formule 1 réunit en moyenne plus d’1 million de téléspectateurs sur la chaîne française Canal+. La chaîne anglaise Sky a réalisé une audience record de 1 545 000 téléspectateurs en moyenne lors du dernier grand prix en Hongrie, le chiffre le plus élevé de la saiso
A sa création en 1950, un championnat de Formule 1 compte seulement 7 courses au calendrier, toutes se déroulant en Europe. Aujourd’hui, ce nombre semble minime comparé aux 24 Grands Prix de 2025, répartis dans 21 pays différents, une distribution géographique qui illustre bien la portée mondiale du sport. De 1950 à aujourd’hui, le nombre de courses par saison n’a cessé d’augmenter, un grand prix s’étale désormais sur un week-end, du vendredi au dimanche. En plus des 24 courses, la discipline introduit depuis 2021, les courses Sprint. Ces 6 Sprint sont des courses plus courtes comprenant moins de tours et une qualification moins longue. Mais ils proposent toujours plus de divertissement et augmentent donc le nombre de téléspectateurs. La formule 1 réunit en moyenne plus d’1 million de téléspectateurs sur la chaîne française Canal+. La chaîne anglaise Sky a réalisé une audience record de 1 545 000 téléspectateurs en moyenne lors du dernier grand prix en Hongrie, le chiffre le plus élevé de la saiso
La Formule 1, sport automobile fêtant ses 75 ans, a souvent été considérée comme un sport exclusif et restreint, nécessitant des moyens considérables, d’autant que seuls 20 pilotes au monde peuvent le pratiquer. Mais, ces dernières années, il a réussi à largement se populariser, de nombreux films et séries comme le nouveau blockbuster hollywoodien F1, témoignent de cet essor mondial. Cette discipline passionne dorénavant toujours plus de monde chaque année, et bien qu’assister à un grand prix nécessite parfois une somme importante pour les fans, la qualité croissante des retransmissions sur les différentes chaînes diffusant les 24 courses, permet de vivre l’intégralité du championnat depuis chez soi. Auparavant perçu comme un sport majoritairement masculin, la formule 1 inclut aujourd’hui de plus en plus de femmes. Elle cherche à briser les barrières d’entrée et soutient ses pilotes féminins, comme le montre la création de la F1 Academy. Les réseaux sociaux participent aussi à l’essor du sport automobile. Les pilotes et leur écurie sont très actifs sur les différentes plateformes, renforçant le lien avec leurs fans.
Mardi 14 mai 2024, le parlement géorgien adoptait une loi controversée sur « l’influence étrangère ». Cette loi prévoit de contraindre les ONG et les médias recevant plus de 20 % de leur financement de l’étranger, à s’enregistrer comme « organisation promouvant les intérêts d’une puissance étrangère » et de ce fait payer de lourdes amendes. Cette loi, dite « loi Poutine », inspirée d’une loi russe de 2012 et qui s’apparente sérieusement à de la censure, a été fortement condamnée par l’Union européenne (UE), l’OTAN et la population géorgienne.
En Occident, la séparation des pouvoirs est un dogme central dans l’organisation étatique, chaque institution disposant de ses propres prérogatives. En Europe, les parlements écrivent les lois, tandis que les tribunaux sont en charge de sanctionner toute atteinte à ces dernières.
Dans une démocratie moderne, la presse joue un rôle central : informer pour éclairer, pour débattre, pour construire. Mais aujourd’hui, le journalisme traverse une crise profonde. Entre le sensationnalisme dicté par les algorithmes, la désinformation galopante et la concentration des médias entre les mains de quelques grandes fortunes, les défis s’amoncellent. Michael Karafilakis, fondateur de [DEMOS], observe ce paysage d’un œil lucide. Si son média s’est imposé comme une voix indépendante auprès des jeunes, il ne cache pas son inquiétude face aux dérives actuelles. Son credo ? Une presse libre et pluraliste est l’un des derniers remparts d’une démocratie vivante.